L’alcoolisme d’un parent affecte la vie de famille de bien des façons. Une consommation d’alcool qui prend de plus en plus de place à l’intérieur de la famille en vient rapidement à perturber les rapports entre les membres de cette famille de différentes façons.
Certains jeunes apprennent à devenir durs entre eux ou trop durs envers eux-mêmes.
Plusieurs autres développent la mauvaise habitude de se blâmer constamment pour des choses qui ne sont pas vraiment de leur faute.
Bien sûr, notre entourage ne parviendra pas à éviter tous les pièges, mais nous pouvons cependant leur faire un certain nombre de recommandations face à un malade alcoolique :
• Argumenter sans fin sur les problèmes créés par l’alcool. La raison, la volonté, ne suffisent pas pour vaincre la dépendance. En faisant cela, ils risqueraient, par une insistance excessive, d’augmenter notre culpabilité et donc la consommation d’alcool.
«Mon père alcoolique et moi», dans les coulisses de l’alcoolisme parental via un manga très réussi de Mariko Kikuchi. Dans ce manga autobiographique qui déchire le coeur, Mariko explique comment l’alcoolisme de son père a détruit plusieurs vies.
Fin septembre, les éditions Akata sortaient Mon père alcoolique et moi, oeuvre autobiographique de la mangaka Mariko Kikuchi. Sous le pseudonyme de Kaoru Ozawa, l’artiste s’est spécialisée dans les mangas sous forme de reportages dans lesquels elle se mettait en scène vivant des expériences extrêmes. Vivre comme une SDF, se rendre dans la forêt d’Aokigahara (où se suicident de nombreux Japonais et Japonaises)…
On parle souvent d’abus sexuels ou physiques, les deux étant souvent liés mais il y a aussi les abus psychologiques qui font largement autant de dégâts.
L’abuseur fait tout pour détruire l’estime personnelle de la personne qu’il a en ligne de mire, souvent son conjoint, ou un enfant.
Voici un petit édito qui dépasse un peu le cadre de nos éditos habituels, à savoir les différents types de personnes toxiques.
Nous connaissons tous des personnes toxiques qui nous vampirisent en nous enlevant toute notre énergie. Il est possible de les reconnaître. On y trouve :
Ce n’est pas la maladie elle-même qui se transmet quand on parle de contagion, mais ce sont les symptômes qui y sont associés : la souffrance, l’obsession, la honte, le repli sur soi, l’isolement.
En fait , on en revient à dire que la maladie alcoolique et la maladie co-alcoolique sont par essence la même maladie qui ne se présente pas de la même façon.
On rencontre souvent dans les familles où un des parents est malade alcoolique et l’autre codépendant, des enfants en grande détresse !
Cet enfant se trouve projeté dans une inversion des rôles, il devient le parent de ses parents, ce n’est pas un choix de sa part, il est obligé d’en passer par là pour maintenir un semblant d’équilibre dans la famille.
Nous avons souvent abordé le sujet de la co-dépendance sur Alcooleaks. Pour nombreux d’entre vous c’est une notion assez vague !
Vous vous êtes certainement déjà demandés si vous étiez codépendant de l’alcoolisme de votre conjoint, d’un parent, d’un frère, d’une soeur ! Ce test ultra simple vous permettra d’y voir plus clair !
Un de vos proches, boit, que faire ? Bien que vous ne puissiez pas faire grand chose à sa place, voici quelques conseils pour faire face à un proche en souffrance avec l’alcool.
Il s’agit en fait plus d’éviter les attitudes suivantes :